Brad Binder a été l’un des plus grands moments du Grand Prix d’Espagne, puisqu’il a réussi deux départs rapides dimanche, l’un avant le drapeau rouge et l’autre après.
Le Sud-Africain de KTM a fait savoir qu’aucune modification n’avait été apportée à la RC16, ce qui permettrait de comprendre les raisons qui ont motivé les départs de ce dimanche à Jerez : « Pour être honnête, nous n’avons rien changé sur la moto qui explique les excellents départs. Je pense que les garçons ont un système de départ qui fonctionne bien, évidemment. Les départs ont toujours été l’un de mes points forts. Et c’est tant mieux, car de nos jours, toute personne qui n’obtient pas une bonne qualification doit prendre un bon départ, sans aucun doute. C’est quelque chose sur lequel j’ai toujours pu compter ».
Un autre moment où le pilote s’est distingué à Jerez, c’est lorsqu’il a glissé… Mais Binder a expliqué que cela ne s’est produit que parce qu’il était à la limite et qu’il ne voulait pas rater le sommet :
– Sur cette piste, il y a désormais moins de traction dans les virages que l’année dernière. Je n’avais pas prévu de glisser autant qu’en course, mais parfois la moto ne s’arrêtait tout simplement pas. Parfois, le seul moyen d’atteindre le sommet du virage est de freiner fortement avec la roue arrière et d’essayer de prendre le virage le plus vite possible. En règle générale, je ne glisse pas trop, mais en réalité, si nous sommes au milieu de la piste et que nous faisons un virage rapide [comme si nous glissions vers l’arrière], nous perdons les deux ou trois dixièmes de seconde que nous avons mis tant de temps à trouver… Il vaut mieux toujours atteindre le sommet de chaque courbe
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